Après une 1ère édition réussie et appréciée, le BIC de Montpellier et l’association Push Start lancent la 2ème édition du Montpellier Game Lab programme d’incubation pour aider les jeunes studios de jeux vidéo à décoller.

Un programme construit pour les jeunes studios de jeux vidéo
Montpellier Game Lab a pour ambition de prendre en compte les besoins spécifiques des jeunes pousses de l’industrie du jeu vidéo. Car, si elles regorgent de talents, elles ont néanmoins besoin de grandir sur des bases solidement établies.Les deux partenaires ont en conséquence élaboré un programme sur six mois, dans lequel le BIC de Montpellier met toute son expertise en matière d’incubation, d’innovation et plus généralement d’aide à la création d’entreprises innovantes, tandis que Push Start amène sa fine connaissance de l’écosystème du jeu vidéo, tant dans le montage de projets que dans le processus de création, la production, la méthodologie, le financement ou encore le marketing.
Ainsi Montpellier Game Lab combine un accompagnement individualisé par des représentants du BIC de Montpellier et de Push Start, des formations et ateliers sur des thèmes variés (financement d’un jeune studio, gestion de la PI, Business Plan, Marketing, Edition, Game Design, etc.) et du mentoring.
« Avec ce programme, nous associons nos compétences respectives, pour qu’elles profitent aux jeunes studios de jeux vidéo », résume François Cubaynes, le secrétaire général de Push Start.
« Notre objectif est d’aider les studios de jeux vidéo à décoller, en consolidant les compétences entrepreneuriales de leurs créateurs », ajoute Florent Desserre, le chargé de mission du BIC de Montpellier, mobilisé sur ce programme.
C’est bien le but. Le Montpellier Game Lab, pour toujours rester dans le jeu !« L’accompagnement qui nous est proposé constitue la grosse valeur ajoutée », souligne Laurent Kobel, le Game Director d’Exalted Studio, l’un des studios accompagnés en 2021. Et d’expliquer : « Nous sommes poussés hors de notre zone de confort, en étant titillés sur des points où notre réflexion n’était pas forcément la plus aboutie ».